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BIO

Michel Pierre Lachance, vit et travaille à Montréal.

 

Autodidacte, il expose professionnellement depuis 2003. Il a participé à Art Souterrain (2022), au Conseil des Arts de Montréal en tournée (2018-2019) et au Salon du printemps du Musée des Beaux-Arts de Sherbrooke (2007) et fait partie de la Collection du Musée. Il a aussi, entre autres, présenté deux expositions solo majeur à la galerie Art Mûr de Montréal ainsi qu’une importante exposition solo en 2010 à la galerie Lausberg Contemporary de Toronto. Il a été sélectionnÉ au  Art Rental & Sales de l’Art Gallery of Ontario (AGO) à Toronto et a été sélectionné par The Bilboard Creative (2020) à Los Angeles afin d'exposer en milieu urbain une oeuvre numérique. Il a dernièrement réalisé la conception visuelle des façades du nouveau Bloc Opératoire de l'hôpital Santa-Cabrini (2022-2025).

 

Michel Pierre Lachance a été formé en architecture. Après une pratique en architecture, en paysage et en design d'intérieur (DI), il a enseigné en DI au Cégep Marie-Victorin. Il se consacre maintenant uniquement à son art. 

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DÉMARCHE
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Plasticien, je recherche avant tout à créer un effet d'espace, de profondeur et de transparence. Influencé par l'architecture, la géométrie et les peintres abstraits - Opt Art, Color Field Painting, Expressionnisme Abstrait -, je recherche plus particulièrement à donner un sens au motif du tableau. Inspiré par mes voyages, les lieux visités et la poésie du quotidien qui m'interpelle, j'élabore mes séries en forme d'hommage, de métaphore ou d'allégorie. Je crée ainsi un lien abstrait entre la perception et la représentation du réel.

Les bandes colorées «hard-edge » agissent comme symbole. Leurs trames, leurs couleurs donnent à voir autre chose que la réalité, mais s'y réfèrent. Mon travail devient alors une sorte de recherche incessante sur les effets visuels et leurs significations. Quand je peins, le tableau se présente comme une élévation à l'échelle réelle dans la verticalité de l’espace. Les aplats, les dégradés, les mouvements créés se dévoilent tel un paysage ou un portrait.

 

La perspective est toujours en jeu. Non pas la perspective traditionnelle, mais celle des superpositions, des tonalités, des jeux des lignes, de direction et de la perception de la profondeur. La composition n’a qu’un but : créer une virtualité spatiale, un événement, une sensation.

Ce que je nomme les antitableaux s'ajoutent à ma démarche. Je récupère les rubans de masquage et j'en fais un autre tableau. Ceux-ci sont sans intention, sans objectif, sans recherche d'un sens particulier. Chaque tableau produit son antitableau. Rien ne se perd ! Paradoxalement, les antitableaux expriment à chaque fois le processus de création. Ils incluent les erreurs et expriment la touche du pinceau, les gestes du peintre et déploient les étapes de création, une à une. 

© Michel Pierre Lachance

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